Chicago Blues Three
Walk on the bridge. Dancing day et night cabs. Boogie-woogie, tambours métalliques de rames, caisses claires d’aluminium, congas de ferrite, pistons de rivets, maracas de rouille, tremblements de croix de ferraille, écho des montagnes d’acier. Ride my guitar over the bridge.
Boom, boom, boom…
Walk, walk, walk…
Talk talk talk…
And talk that talk
And walk that walk
Walk the walk, baby
And talk that talk
Hmm, hmm, hmm, hoo, hoo, hoo
Hook, Hook, Hook, John, John, John Lee c’est toi qui m’a ouvert les bras du Blues, Hooker sous ton chapeau, les semelles de tes chaussures vernies battent le boogie des roues d’acier.
Depuis, dans les bars de Chic, la bière continuent de couler, mais plutôt sagement dorénavant, bizarrement les guitares de s’accrocher aux murs, mais les riffs de tes neveux, enfants, frères, soeurs, amis, partisans … de continuer à pulser.
Boogie-woogie, man.
Always, always, always.
Boom, boom, boom.
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( Ici, derrière sa 335, The Kinsey Report, au Buddy Guy’s Legends . 2009.)
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