Chapoullié Blog

Le livre qui ne voulait pas s'effacer

Colombo,கொழும்பு

கொழும்பு

1-Mère au marché

2-Moines en promenade

3-Le Christ de Colombo

எல்லா இடங்களிலும் கடவுள்கள்

 Sri Lanka 2013.

On the Road Again, toujours…

On the  road, dans l’écran, traverser le panorama.

Le pare-brise en cinémascope, le travelling infini, la vie devant toujours.

Bulgarian Screen Road

La musique du moteur, la musique de l’écran

L’Est lointain

Jean-Luc, Wim, moi là-bas

 Moteur

 Bulgarie 2010

And Now, by Popular Demand

Une Créature…

Directement sortie de la cuisse de l’Univers.

Du cinéma, du vrai, du théâtre, retour à Versailles.

Créature Vivienne Westwood

Le grand salon du Grand Hotel, rue de la Paix, plus beau qu’au Monopoly.

 Molière sans texte, des couronnes, doubles ailes, la cour, ça frémit, on se presse, tout brille.

 Les créatures de Vivienne Westwood.

 Paris 2000.

 

La Belle de पॉन्डीचैरी

Que la lumière continue de bercer la Belle de Pondichéry

Les fenêtres de rester ouvertes

Les robes de briller

Les arbres d’accueillir les balançoires

La Belle de Pondichery

Nos histoires continuer.

We shall overcome someday.

India 2013. Pondichéry. பாண்டிச்சேரி. पॉन्डीचैरी

Bon, c’est pas tout ça, Noël et tout le Tra la la…

Il est temps de se remettre au boulot.

 C'est tre╠Çs se╠ürieux

Une petite méduse,  méduse minuscule, 1 ou 2 centimètres, mais à l’énervement mortel. On peut voir sa petite queue exaspérée prête à l’attaque.

Bon, allez, au boulot.

Photographiée en l’aquarium de Cape Town, en 1998; histoire de rester dans l’ambiance Sud Africaine, avant de passer à la suite.

Next.

Sur la route de Nelson, bien sûr…

De la nuit.

La Belle au Billard

Cape Town 1998.

Il y a des prêtresses tireuses de cartes, gardiennes de shebeen.

Shebeen

1998. Cape Town, côté township. Khayelitsha.

Il y a des pères fiers, qui veulent la meilleure espérance pour leur double progéniture bien arrivée, et qui boivent un coup à leur bonne fortune au soleil couchant du Cap de Bonne Espérance. Il y a pire augure.

<Pere Fier de Bonne Esperance

1998.Cap de Bonne Espérance.

 

 

Sur la route de Nelson, encore…

8 ans après la chute de l’apartheid, 5 ans après l’élection de Mandela, les écoles deviennent mixtes…. alors les sorties scolaires également.

Et les petites écolières1999. Dans le jardin botanique de Cape Town.

On parle souvent, et à raison, de cette surhumaine capacité au pardon dont Mandela a su faire preuve, et ainsi montrer la route pour éviter le bain de sang.
Pour ma part, il me semble qu’à chaque fois qu’on évoque cette qualité du grand homme, on oublie trop qu’il s’est nourri et appuyé sur des racines profondes de l’âme de son peuple, qui je l’ai ressenti dans des biens des occasions, peuple capable de pardon et d’une grande tendresse, et ce malgré la dureté et la grande violence de la vie là-bas pour le plus grand nombre.
Little Karoo.

A la campagne

1998. Barrydale.

De la tendresse, il y a.
Cape Town, côté township Cape Flats.

I love him

1998. Cape Flats YMCA.

Sur la route de Nelson, toujours…

Sur le gazon d’une avenue du quartier emmuré de Sandton, Johannesburg.

Johannesburg Sandton

2000. Sandton.

Autant en emporte le temps… ou n’emporte que si peu de choses…

Autant en emporte le temps_

Port St Johns. 1999.

Sur le tracteur de la Démocratie, du côté de Queenstown, Eastern Cape.

I love him

 South Africa 1998

Du cote de chez Madiba, ou sur la route de Nelson

Un petit berger, au détour d’un virage, sur les hauteurs du Transkeï, dorénavant Eastern Cape, pas si loin de Qunu, le village où Nelson Mandela a passé sa petite enfance et ou il reposera.

On était seul l’un comme l’autre, lui dans la forêt avec son chien et son troupeau, moi plutôt perdu sur cette piste très boueuse, pour basculer vers le Natal. On est reparti avec chacun notre photo.

Le petit berger

Le petit berger.  1999. Transkeï.

Une autre rencontre, de celle qui intimide, sur une petite route, un peu perdu à nouveau mais cette fois à la recherche de l’Océan Indien, que j’espère en quittant les montagnes de l’Eastern Cape. Au passage d’un gué, je croise une écolière rentrant de l’école en flânant et son regard perçant, s’il en est.

Quand je rentrais de l’école, ce n’était pas mes pieds nus que je laissais traîner dans l’eau, mais mes petites voitures que je faisais courir sur les murs.
De l’école, de la solitude et de la nature. De l’immortalité de la rencontre photographique.
Nous sommes repartis chacun avec notre photo.

La fille du gué

 La fille du gué. 1999. Cap-Oriental, à l’approche de Ports Saint-John

 Un autre genre de lutteur.

Nkangala liquor

1999. Nkangala liquor, Kwazulu Natal

 

Fly to the Moon

Fly to the moon.

And drive.

Et sans doute aussi jusqu’à mon père, Félix, qui aimait totalement ces papillons. Libérateurs.

Je me souviens de lui, radicalement transformé par l’état de vacances, stoppant pile et dérechef la 404 familiale, pleine de mômes soupirants et suppliants l’arrivée rêvée, sur l’horriblement longue route de la Costa Brava, soudainement déguisé en chasseur poétique, se mettant à courir armé de son filet, préparé au cas ou dans le coffre surchargé, afin de capturer le coléoptère aperçu derrière le pare brise de la Peugeot, absolument pas ralenti par les cris de sa femme. Voila qu’il n’était plus raisonnable.

Fly to the Moon

De là, certainement mon indéfectible affection pour les très, très rares coléoptères éphémères et néanmoins magnifiques. « Pixellamus Originalus «

Et mon étrange disposition à la photographie à l’arrachée en véhicules à moteurs.

 Paris 1998.