Live from Colombo
Spécial dédicace to my friends from Colombo.
Sri-Lanka 2012. Colombo. 1000 et une pages.
Spécial dédicace to my friends from Colombo.
Sri-Lanka 2012. Colombo. 1000 et une pages.
Le grand panorama, immense, démesuré, de saris dans tous les champs, de visions comme de campagnes, routes, murs, villes, multiplex de couleurs et de sourires, panoramique perpétuel d’affiches gargantuesques sur les routes du Kerala.
Une sorte de Land-art qui s’ignore, un temple ouvert à la féminité ( et au mariage )…
Une célébration qui ne fait plus oublier le problème récurrent de la violence extrême faite aux femmes, particulièrement vulnérables dans les transports publics.
1000 et une pages. Avec Thierry Wasser pour Guerlain . Inde 2012.
La paix, la trace, le passage.
La Mer
Marie-Galante 2007.
Paysages…
De Chicago à Beijing, du 20ème au 21ème, mailles de calculs, fièvres de cathédrales, fournaises d’architectes, et pour finir, paysages.
Chicago 2009
Beijing 2003
Une autre sorte de beauté, une autre sorte d’icône, sortie tout droit de notre mémoire collective d’ici, et pourtant photographiée, à un siècle près et 10 000 kms des champs de la Marne et des tranchées de Verdun.
Un autre genre de » Poilu « , une chair bien humaine, mais à béton, fier et épuisé, arraché lui aussi à sa campagne, pour la gloire de son pays, au-dessus de toutes les autres, plus haute que tout les skylines d’Amérique, une nouvelle Chine.
Pékin 2002.
Sur le chantier de la construction du Grand Théâtre National de Chine.
Une histoire qui se chuchote, légères comme des papillons, volant dans les ailes des saris, dans la toile fauve du matin Indien.
Kerala 2011.
Une histoire qui se chuchote, légères comme des papillons, volant dans les ailes des saris, dans la toile fauve du matin Indien.
Kerala 2011.
Bon allez au boulot, à Paris comme à Pékin, au coup de cloche, ici comme là-bas… bon, enfin, presque….
Construction du Grand Théâtre National de Chine. Beijing 2003
Il y a l’Iggy qui crache sur la foule, bondit de la falaise des Marshall, vole sur les mains adorantes, planant sur les pogoteurs, mur du son implacable, qui fait le show, en bon professionnel, puisque le public, jeune, qui se presse devant la scène l’aime Iguane, l’aime méchant, la langue tirée. Alors il donne.
Et puis il y a l’Iggy d’avant ou après la scène, disponible, courtois, attachant. C’est sans doute l’un des personnages de la scène rock, le plus agréable, j’ose dire gentil, ben oui Iggy, qu’il m’ait été donné de portraiturer.
Un séjour de 3 jours au festival de Birmingham, Alabama en 1999 pour les Inrocks.
Iggy toujours prévenant et attentif au photographe frenchie que j’étais, venu de si loin pour le photographier, s’enquérant de mes besoins, de transports, de repas, de pass dans la zone backstage du concert, d’une bonne position sur le côté de la scène. Jamais vu ça avant, et si éloigné de l’organisation habituelle des concerts, quasi militaire dorénavant, et particulièrement aux États-Unis.
Un bel Iggy. Rock.
Il faut que vous mettiez une musique dans votre tête.
Comme dans un film. Car c’est un film, un roman, qui va durer longtemps. J’aime les livres de 1000 pages. On sait, quand on le commence, qu’on va y vivre longtemps, dans cet univers.
C’est une histoire de rikshaw, d’arbres, de klaxons, de saris, d’Ambassadors, de petits-grains, de terres, de tempêtes de sable, de moussons, de senteurs, de costumes impeccables, de graines, de temples, de pieds nus devant les dieux, de routes, de phares, de lunes, de terres, d’absolu, d’absolus.
Ça commence comme ça, en Inde.
Du côté de Cochin, Kochi, Kerala, de là ou sont venus tout les épices qui remplissaient les cales des caravelles, les Indes. Il y a bien, longtemps, ça à fait des fortunes, des aventures, des guerres, des mariages, des incendies, des pays conquis, et aussi de nouveaux goûts, des fleurs, des couleurs, une terre de parfums.
Inde. Kerala. 2012