Le Saut et la Danse des Formes
Entrechoc d’époques d’entre 1996 et 2024, de Décodex et Chapoullié s’amuse.
Comme il se dit de nos jours : Voila.
Avant que je ne trouve quelque chose de plus malin à réciter, le récit
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Entrechoc d’époques d’entre 1996 et 2024, de Décodex et Chapoullié s’amuse.
Comme il se dit de nos jours : Voila.
Avant que je ne trouve quelque chose de plus malin à réciter, le récit
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Pignons du Tour, ressorts en dérailleurs
Mécanique d’horlogerie, souvenirs d’écrans, siccatif flamand sur éclaté de roues dentées
Tension de cordes finalement plutôt bien accordées de Précision
Comprenne qui le voudra bien, tant appris à attraper les mots au vol, emporté par Murat et Bashung
Noël aux balcons
Encres, pixels, pastels
Gravure de tirage
Fin d’hiver
A la recherche désespérément du vrai rouge, et bien sûr du riff absolu.
Ou du vrai riff et du rouge absolu.
Du riff absolu complètement rouge
Enfin, vous aurez compris
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Dubaï Airport, vol de nuit, en route pour Kununurra, Terres du Nord, Terres rouge, Terres Aborigènes
Marouflage, pixels pigments, pigments aquarelles, panneau de peuplier 220 x 60
A la demande de Paul Andreu, l’architecte du projet, je réalise en 2006 une maquette de vitrail pour les salons du Théâtre National de Chine, la grande salle dite de l’Opéra de Pékin.
Un mur de verre d’une dizaine de mètres de long sur une hauteur de 2,5 mètres. Verre, gravé, et enchâssant en transparence les images que j’ai récoltées sur le chantier au cours des années passées, un vitrail moderne, en forme d’ode au travail des ouvriers bâtisseurs.
Mais, triplement hélas le Grand Krik nous croque as usual, pour des raisons de coûts, ainsi que de circonstances politique, ce projet de vitrail ne verra finalement pas le jour.
3 versions pour mieux envahir l’écran.
Fly to the moon.
And drive.
Et sans doute aussi jusqu’à mon père, Félix, qui aimait totalement ces papillons. Libérateurs.
Je me souviens de lui, radicalement transformé par l’état de vacances, stoppant pile et dérechef la 404 familiale, pleine de mômes soupirants et suppliants l’arrivée rêvée, sur l’horriblement longue route de la Costa Brava, soudainement déguisé en chasseur poétique, se mettant à courir armé de son filet, préparé au cas ou dans le coffre surchargé, afin de capturer le coléoptère aperçu derrière le pare brise de la Peugeot, absolument pas ralenti par les cris de sa femme. Voila qu’il n’était plus raisonnable.
De là, certainement mon indéfectible affection pour les très, très rares coléoptères éphémères et néanmoins magnifiques. « Pixellamus Originalus «
Et mon étrange disposition à la photographie à l’arrachée en véhicules à moteurs.
Paris 1998.